Cap Corse 1

La Corse (avec la Sardaigne) était au programme cette année. Premier acte important : embarquement à Nice le 9 mai, sur le NGV2 (Navire à Grande Vitesse) de la SNCM. Nous avons préféré cette compagnie à cause de son tarif, forfait Corse-Sardaigne compris, en économisant le trajet jusqu'à Livourne de Mobyline. Première vision de la Corse, 2 à 3 heures plus tard : l'île de la Giraglia, et l'extrémité Nord du Cap Corse, sous un temps un peu bouché. Le débarquement à Bastia effectué, et après quelques courses, route au Nord vers le Cap Corse. Notre première tour génoise, celle d'Erbalunga, et dans son petit port, la remise en peinture cool d'un bateau. Mise en jambes à Sisco, de l'église St Martin (au fond à gauche) à la chapelle St Michel, avec en prime un aperçu du relief. Nous avons aussi vu la Méditerranée au loin. Plus encore vers le Nord, au dessus de Macinaggio, Rogliano, surmonté d'éoliennes, avec ses églises, son chateau, mais aussi, ses caveaux funéraires répartis au bord de la route, hors cimetière, comme nous en avons vus un peu partout en Corse : leur disposition est telle que les morts peuvent profiter du panorama. Depuis Macinaggio, escapade pédestre de 3 ou 4 heures sur le sentier des douaniers, jusqu'à la chapelle et la tour Santa Maria; au passage nous avons croisé quelques vaches marines contemplant les îles Finocchiarola et leur tour génoise. La route nous a mené ensuite à Tollare; nous y avons passé une nuit sur le bord de la plage (stationnement gratuit à cette période de l'année), et retrouvé le sentier des douaniers pour aller à pied à Barcaggio.